jeudi 22 mai 2008

It's electrifying !

Hé, salut les copains !

J'ai une révélation un peu bête à vous faire ; vous savez, le genre de truc qu'on avoue que bourré.

Bon, là, deux secondes, j'écrase un moustique et je reviens.

...

...

... voilà.

Bref, bon, oui, ah c'est vrai... ben... j'apprécie énormément Travolta.

Ouais, bon, c'est nul, m'enfin moi je le trouve vachement charismatique ce mec. Un p'tit air de moi sur les bords.

Et pour ceux qui l'auront deviné, tout ça n'était qu'une introduction. Ben ouais, je préfère ça à un "bonjour" ou à un "lol slt !".

Sinon, ça va, vous ?

Ouais, cool.

Ahem.

...

Hop, et là vous vous dites que j'ai rien à dire... sauf que non !

Vous vous dites que je vais vous pondre un truc trop métaphysique sur la life, ben non.

En fait, je suis juste là pour prendre de vos nouvelles. Hé, je suis altruiste : je suis dans la merde, vous passez me voir ! ben soyez dans la merde, et je viens voir si tout va bien !

Et pis sinon, quelques news pas très importantes : un déménagement à Lille en septembre, un permis vers juin/juillet, une grosse bite et un sens de l'humour en pleine décadence.

Donc je m'amuse bien. Vous remarquerez que la chronique "Concerts" a disparu... pas que j'aie arrêté de bouger, c'est juste que je manque de temps en ce moment. Oui, je le dis à chaque fois, mais à chaque fois j'en ai plus sur le dos.

Entre les p'tites merdes quotidiennes qu'on connaît tous ("signe tes papiers, "appelle ta banque", "envoie tes notes de frais", "range ta chambre"), les exams de S2 ratés (youhou !), un mois de juillet qui s'annonce taffant au possible (zzz...), je suis un peu mort.

Mais ça va, hein, je m'éclate bien. Heineken, Poliakov et Jean-Mouloud sont des bons potes.

Mais ils ne valent pas deux famille, la première composée d'un père têtu, d'une mère qui rit de poissons, d'une soeur qui parle que de cul, d'un beauf' bassiste assidu et d'une soeur qui grandit bien ; et la deuxième composée de Buddy Pine le drogué et de Ma mie la gothique.

En fait, ils ne valent rien, puisque toutes ces emmerdes font exprès de se mettre sur ma route.

Elles tombent du plafond et s'écrasent comme des flans qu'on retournerait en enlevant la bande d'alu du fond, essaie désespérement de me bloquer, mais elles comprennent pas qu'on n'arrête pas un type comme moi.

Pas un type qui a des gens derrière lui et des rêves plein la tête.

Pas un type qui peut parler, écrire, lire et vivre sans contraintes.

Et si c'était nous qui faisions tomber les flans du plafond ?