lundi 2 octobre 2006

Un peu plus au nord...

Alors que l'Union Européenne se modernise, et que nous sommes aux portes d'un futur prometteur, aux allures de Guerres Mondiales et de champignons atomiques, il y a un pays qui attire mon attention, justement par la sauvegarde de ses valeurs - authentiques - et son savoir-vivre qui mérite le plus grand des respects.

Ce pays, c'est la Belgique. Yep, yep, yep, le pays de la frite, de la bière, et de l'accent qu'on aime tant, une fois. Ouais, et moi j'adore ça, les frites. Surtout avec de la sauce au poivre. Enfin, bref.

Il s'avère qu'au cours de mes nombreuses pérégrinations, je me suis rendu plusieurs fois là-bas ; ce qui est un peu normal puisque j'habite à quelques kilomètres de la frontière. Et il y a plusieurs éléments intriguants dont j'aimerai vous faire part.


1. La nourriture belge :

Il semblerait, selon certaines études récentes, que les belges aient une alimentation différente de la nôtre. En effet, là où nous consommons des plats tout à faits sains et normaux (foie, langue de boeuf, cuisses de grenouille, etc.), eux s'intéressent plus aux frites, aux hamburgers, aux carbonades, au pickles, et à la bière, comme le prouve cette série d'images :









... euh, non, ça c'est la quiche de Grégoire, je fais n'importe quoi moi.



Enfin bref, la nourriture belge, nous on aime ça :




(là je suis content)






2. Les patronymes belges :

Une autre particularité belge qui est assez surprenante concerne les patronymes et plus généralement les noms belges, à l'image de ceux donnés au rue (Vanderszpaetenstraat, Patatzstraat, par exemple), ou encore de certains noms d'entreprises, tirés probablement de patronymes de grands directeur :



(remarquez la pose de péripat' de notre ami Grégoire, apparemment à la recherche d'une frite pour passer la nuit)





3. La faune belge :

En effet, loin des gentils petits moutons et autres panthères en rut qu'on peut trouver dans les magnifiques campagnes de France, la Belgique abrite de nombreuses espèce d'animaux, aux allures étranges et fantastiques (pas dans le sens "woow", dans le sens "brr", quoi). Eh oui. Faisons ensemble un rapide tour d'horizon de ce zoo diabolique :



Ici, un spécimen de... d'éléphant en bois (non, vous ne rêvez pas), que j'ai réussi à apprivoiser au prix de nombreux efforts. Il est gentil, je l'ai appelé Stanislas.






Ci-contre, un spécimen de Stanislas en plus petit. Il s'appelle Stanislas Junior, et se fait ici dompter par un Grégoire en folie. Si, si.





Voici enfin, suite à une chasse longue de plusieurs mois, une photo du célèbre canard à crête, plus communément appelé le canarus crêtus, espèce en voie de disparition, qui a pour habitude de disparaître. Ca tue.






Et voici ma soeur.






4. Les effets nocifs d'un trop long séjour belge :

Plusieurs études scientifiques ont en effet prouvé qu'un trop long contact avec un environnement belge pouvait avoir des conséquences néfastes sur le plan physique mais aussi psychique. Certains troubles du comportements (défaillance mentale, schyzophrénie, délirium tremens belgus) et modifications physique (estomac recouvert d'une substance supportant de fortes doses de pickles, développement du ventre, etc.) peuvent avoir, à long terme, des conséquences mortelles, ou pire, mener à une transformation totale en belge. Voici quelques photos qui prouvent ces dires (ces images peuvent choquer les plus sensibles):





Grégoire, 17 ans, a attrapé le syndrôme dit de la trisomie belge (belgus 21), voyant des frites partout, et surtout là où il n'y en a pas (12 heures d'exposition).







Paul, 17 ans, a contracté le syndrôme dit du je suis assis sur un monument aux morts et je suis content (monumentus contentus), et est content (12 heures d'exposition).




Grégoire et Paul, 17 ans toujours, ont contracté la maladie du sable (sandus communius), qui consiste en une communion complète avec le sable belge les nuits de pleine lune (18 heures d'exposition).







Photo particulièrement choquante, nous montrant ici un cas très rare de maladie dite de la personnification (tobius or not tobius), qui s'extériorise par le fait d'écrire son prénom à l'aide de substances corporelles, et d'être content (48 heures d'exposition).






Ci-contre un cas de schyzophrénie avancée (schyzophrénius avancius), le sujet se prenant pour un taliban en reconquête d'une Belgique laissée aux mains des flamands (65 heures d'exposition).





Après 7 jours d'exposition totale, nos deux sujets ont totalement sombré dans la folie, avec la manifestation d'une forme terminale de delirium tremens belgus (euh... delirium tremens belgus), qui conduit irrémédiablement à une transformation en belge.
Images choquantes, j'en conviens.



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Nous voici arrivés à la fin de cet exposé sur cet ovni européen qu'est la Belgique. J'espère que dorénavant, vous saurez à quoi vous attendre en franchissant la frontière qui vous sépare de ces terres où la frite et la bière sont reines... par contre, je peux vous affirmer que des vacances là-bas, avec un pote, deux grattes, et de quoi s'amuser un peu... ben ça tue.

"Frite un jour, frite toujours."
Papy Cossement

PS : amis belges, je vous aime.

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